Le graffiti n’est pas forcément un objet urbain. En témoigne celui-ci que j’ai recueilli à Syros, sur un rocher de la colline surplombant la plage de Galissas. On y lit (je traduis pour ceux qui ne pratiquent pas la langue de Séféris) : « Maria je t’aime ». Elle lui a peut-être répondu sur un autre rivage…