Pardon, je suis effectivement hermétique. Je parlais un peu à mon chapeau, en fait. Ce doit être que je répugne à faire un commentaire plus long que le post qui le précéde. Mais là, le mal est fait, de toutes façons !
Je me demandais simplement si tu avais accompagné le dessin de ton arbre par l’écriture d’un de ces poèmes qui jalonnaient ton Sablier. Ou, plus exactement, si l’arbre n’était pas l’illustration d’un de ces poèmes. Celà sans doute, parce que tes deux courtes phrases sont à la fois mystèrieuses et lumineuses.
Bref, si avec ce commentaire, je gagne le prix « plan-plan et gros sabots », je saurai à qui je le dois 🙂
Je suppose que tu « parles à ton chapeau » au sens où La Flèche, valet de Harpagon, parlait à son bonnet… mais tu n’as pas besoin d’avoir peur que je te tape sur les doigts !
Pour répondre à ta question, explicitée, non il n’y a pas cette fois de poème accompagnant le dessin auquel se réfèrent ces deux phrases. Cela ne veut pas dire pour autant qu’il n’y aura jamais de poèmes dans ces Sédiments, comme il y en eut chez le Sablier. Il y en aura probablement, mais leur venue est aléatoire. Il pourra y avoir aussi des textes « du Sablier », car si le blog est clos, le personnage existe encore et présentement, il lisse ses plumes dans les coulisses.
Et pas un mot sur le petit poème qui, sauf à avoir changé Fuligineuse, l’a porté sur les fonts baptismaux ?
Quel poème ? Je ne vois pas…
Pardon, je suis effectivement hermétique. Je parlais un peu à mon chapeau, en fait. Ce doit être que je répugne à faire un commentaire plus long que le post qui le précéde. Mais là, le mal est fait, de toutes façons !
Je me demandais simplement si tu avais accompagné le dessin de ton arbre par l’écriture d’un de ces poèmes qui jalonnaient ton Sablier. Ou, plus exactement, si l’arbre n’était pas l’illustration d’un de ces poèmes. Celà sans doute, parce que tes deux courtes phrases sont à la fois mystèrieuses et lumineuses.
Bref, si avec ce commentaire, je gagne le prix « plan-plan et gros sabots », je saurai à qui je le dois 🙂
Je suppose que tu « parles à ton chapeau » au sens où La Flèche, valet de Harpagon, parlait à son bonnet… mais tu n’as pas besoin d’avoir peur que je te tape sur les doigts !
Pour répondre à ta question, explicitée, non il n’y a pas cette fois de poème accompagnant le dessin auquel se réfèrent ces deux phrases. Cela ne veut pas dire pour autant qu’il n’y aura jamais de poèmes dans ces Sédiments, comme il y en eut chez le Sablier. Il y en aura probablement, mais leur venue est aléatoire. Il pourra y avoir aussi des textes « du Sablier », car si le blog est clos, le personnage existe encore et présentement, il lisse ses plumes dans les coulisses.